Dans un article de mon blogue anglais, en septembre dernier, j’avais eu une petite montée de lait contre le sauvignon blanc néo-zélandais et l’espèce de modèle pamplemousse-fenouil-poivron vert uniformisé qui se répand d’ailleurs vers d’autres terroirs viticoles. D’accord, ça se boit presque tout seul, du Kim Crawford, du Oyster Bay ou du Babich, mais le barrage aromatique devient à la longue passablement irritant.
Heureusement, le vignoble néo-zélandais produit bien plus que ces sauvignons qui l’ont largement fait connaître au monde. Les pinots noirs, bien sûr, en particulier ceux du Central Otago, montrent (suite…)