Je suis prêt à parier que la plupart des vignerons qui s’activent au Québec – ou dans d’autres vignobles plutôt nordiques – ont été inspirés par le plaisir de boire du Bordeaux ou du vin californien, plutôt que par un verre de seyval ou de Saint-Pépin.
Alors si on leur offrait de faire pousser du cabernet capable de résister aux hivers québécois, ils seraient contents, non?
Il y a bien quelques modestes tentatives. L’excellent Vignoble Le Marathonien, à Havelock, (suite…)