On les appelle des importations privées, mais c’est une drôle d’appellation, au fond, comme l’ont souligné récemment Vincent Marissal et David Santerre. Elles transitent par la SAQ, qui en dégage des marges grosso modo comparables à celles des produits qui se vendent sur les rayons du monopole, et elles sont accessibles à tous ceux et celles qui veulent en acheter – à condition d’être prêt à en acheter une caisse… et de savoir où les trouver.
Un bon endroit où les trouver, justement, (suite…)